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Se ressourcer

1 Mai

Il y a 2 semaines j’ai passé une semaine en France, en famille, au soleil.

Parce que comme quasiment à chaque fois que je reviens ici, passer quelques jours en famille me permet de faire le point. De me remettre en question. De regarder où j’en suis. De regarder où je vais. De regarder le chemin parcouru depuis que je suis partie. 3 ans et demi bientôt…

Et cette fois-ci, mon retour a un goût particulier. Celui de la victoire.

En septembre j’étais rentrée dévastée, fragile, triste et pleine de doutes, de questionnements. Moi qui suis de nature optimiste avec une confiance en la vie, j’étais perdue. Et là dedans s’ajoutait l’arrivée de ma petite boule d’amour de nièce adorée.

Une naissance c’est une manière de fêter l’amour, le bonheur et l’espoir en l’avenir.
A ce moment là je n’avais plus foi en tout ça. Alors peut-être que l’arrivée de cette merveille dans la famille m’a redonné un peu d’amour, un peu d’espoir et de confiance, sans m’en rendre compte.

Je ne peux que faire le constat de mon début d’année 2019 qui contraste avec la fin de 2018.

Je profite de chaque instant avec mes proches. Mes parents, ma sœur et son mari et leur petite merveille. Je les regarde et je me dis que rien ne change malgré le temps et la distance on est toujours là les uns pour les autres. On est toujours les mêmes et on sait qu’on pourra toujours compter les uns sur les autres. Je nous regarde tous avec nos pu**** de défauts et nos qualités et je me dis que j’ai une grande chance d’avoir ce pilier. C’est une sacrée valeur à mes yeux.

Beaucoup d’entre vous me trouve épanouie à travers mes postes et mes story sur les réseaux sociaux. En réalité je le suis tellement !!!!
J’ai comme l’impression que tout me sourit. En ça, je prends ma revanche sur l’année dernière. Sur tous les moments de doutes que j’ai pu avoir. Toutes les larmes que j’ai pu verser. Tous ces sentiments d’impuissance et de détresse que j’ai pu ressentir.

Vous allez me prendre pour une tarée mais parfois je repense à ce qu’il s’est passé et j’ai envie de dire « Fuck! Non, tu n’as pas réussi a me détruire pour de bon! Prends ça dans ta face! »
Sans savoir à qui je m’adresse. La vie? Lui?

Le meilleur ? J’ai beau avoir été détruite l’année dernière, j’ai trouvé la force de me reconstruire (processus bien avancé) et sans ça, je n’aurai jamais autant avancé!!!

C’est une chance de pouvoir saisir l’opportunité de faire une introspection de ce qui s’est passé, du pourquoi ça a pu se passer et de pourquoi et comment ça ne doit plus arriver.

Sans ça, je serai restée tellement bloquée ! Sans ça, je n’aurai pas travaillé autant sur moi.

Pour être honnête, je n’aurai jamais pensé apprendre autant sur moi un jour… Et ça, c’est un merveilleux cadeau que m’a offert cette épreuve.

Aujourd’hui j’ai toutes les cartes en main pour avancer et me construire un avenir merveilleux entourée de personnes qui me correspondent.

J’ai foi en l’avenir. Je sais que de très belles choses vont arriver.

Petit à petit je vais me construire un chemin qui me correspond, dans lequel je serai bien et tout aussi épanouie si ce n’est plus.

Merci la vie de m’offrir tout ça !


Je vous l’avais dit… Je suis une battante !

Ecouter sa raison ou suivre son coeur

8 Nov

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Nous voilà bientôt mi-novembre et dans un mois je termine mon contrat en tant que Volontaire International en Entreprise à Montréal, au Canada.
A ce moment-là j’aurai passé deux ans en tant qu’expatriée à 6 000 km de chez moi.

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Alors naturellement, je commence à me repasser les 24 mois qui viennent de s’écouler dans ma tête.

Je me revois il y a deux ans, préparant mon voyage (j’en parlais ici déjà)

Cette expérience a été tellement formidable ! Et surtout exactement à la hauteur de ce que j’espérais ! Des voyages, des amis, des découvertes de toutes sortes, des expériences inédites, un nouveau job !
Alors pourquoi depuis 5 mois l’envie de rentrer en France ne me quitte pas ?

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Pourquoi, alors que beaucoup de choses sont “mieux” ici, mon coeur, lui, rêve d’être là-bas ?

Je crois que déjà je peux dire que tout simplement, je ne me sens jamais autant chez moi que lorsque je rentre en France, dans MA ville de coeur et chez mes parents.
Ici, je me suis construit un petit nid douillet comme j’ai pu, mais je ne suis pas sûre d’avoir réussi à trouver des repères. En tout cas, mes repères francais me manquent !

Alors au début, des repères on n’en a aucun et c’est normal. Je dirais même qu’au début, des repères, je n’en voulais pas ! Je ne rêvais que de nouveautés, surprises et découvertes ! J’ai été servie. J’ai été comblée même ! Je n’aurai jamais imaginé courir le semi-marathon de New-York, j’osais à peine rêver de partir à la conquête de “l’Ouest” Canadien et encore moins goûter à l’exotisme des Caraïbes.

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Je me suis émerveillée de nombreuses choses. Des choses différentes de mon quotidien francais: les poils de nez qui gèlent, la neige qui tombent durant des jours et des jours, les expressions de la langue québécoise, la gentillesse et l’ouverture des gens, leur générosité, entendre parler deux langues différentes tous les jours (et parfois dans une même phrase), oublier la mode et porter le même manteau et les mêmes chaussures pendant 6 mois (j’exagère à peine avec la neige!) et j’en passe !
Faut dire qu’en arrivant à Montréal en plein hiver canadien, ca m’a sacrément changé de Toulouse et son climat du sud de la France !

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Mais en tant qu’expatrié on est étranger dans notre pays d’adoption et dans lequel on vit notre quotidien, mais on est aussi étranger parfois quand on retourne dans notre pays d’origine.
Etre expatrié représente aussi beaucoup de paperasse, d’argent, d’énergie, de stress, de patience pour courir après un visa (permis de travail temporaire, résidence permanente voir même citoyenneté pour les plus courageux).

A lire et entendre certaines personnes, il est inconcevable de rentrer en France. Je suis consciente des points positifs qu’offrent le Québec. Un meilleur salaire, une facilité pour trouver un emploi dans mon domaine, une grande facilité pour trouver un logement, la sécurité dans les rues, la mentalité et le respect des personnes… Et puis, Montréal est une ville formidable que j’adore ! Son centre ville et ses buildings, ses petites maisons et sa multitude d’escaliers, ses nombreux parcs, ses festivals et événements à foison, ses activités l’été, sa proximité avec les Etats-Unis, sa proximité avec les grands parcs randonner et passer l’hiver au coin du feu…
Et pourtant, la ville me donne le cafard par moment. C’est comme si elle avait perdu de sa magie. Certains endroits me donnent le blues. J’ai visité les mêmes lieux plusieurs fois. Je deviens tannée de certaines choses qui m’émerveillaient avant. Je suis comme  un peu lassée d’être là parfois. Oui, je suis lassée de certaines choses ici. En même temps, la plupart des choses qui étaient nouvelles au début sont devenues habituelles.
Je vois maintenant le mauvais côtés de certaines choses. Et contrairement à ce que certains disent et pensent, oui, moi j’en vois ! (si si, tu peux vraiment te faire virer le jour même de ton boulot ! Tu ne passes pas par la case départ et ne touches pas 20 000 francs)

Et ainsi, ma tête ne cesse de se replonger au coeur de la ville rose, sur la place du Capitole, dans les petits resto du sud-ouest, dans mes endroits préférés, dans les bleds paumés de la campagne je rêve de recourir… Des choses toutes bêtes, toutes simples, que j’ai tellement envie de retrouver !
Il faut dire que je n’ai pas quitté la France car je ne la supportais plus. J’adorais ma vie à Toulouse ! J’ai juste eu envie de nouveauté et surtout j’ai eu une opportunité de dingue à saisir ! Et je ne le regrette pas !
Vous commencez à me connaitre, cette philosophie ne me quitte jamais. Vivre sans regrets.

C’est important pour moi de jeter un oeil sur mon passé et ne rien regretter.

Et l’expatriation c’est quelque chose de pas toujours facile à vivre avec (enfin plutôt sans) l’entourage.
Je ne compte pas le nombre de fois ou j’ai voulu prendre ma voiture et faire les 2h de route qui me séparaient de ma famille depuis Toulouse. Ca aussi, ca me manque ici, le fait de ne pas avoir la voiture ! C’est fatiguant à force de devoir tout faire en transport et devoir jouer avec la logistique de louer une voiture pour sortir de la ville…
Je ne compte pas le nombre de fois où j’ai rêvé d’un spa avec mes copines ou d’un après-midi improvisé chez les copains.
J’avoue qu’avant de partir, je me pensais être largement capable de passer au-dessus de ce manque (celui de mon entourage hein, pas de la voiture). Mais la réalité a été différente de ce que j’imaginais. Le plus dur, c’est de manquer pleins d’événements marquants et important pour ceux que tu aimes. Les problèmes de santé, hospitalisations, les naissances et les mariages. Même si j’ai réussi à être présente à un mariage chaque année, les 3 qui arrivent l’année prochaine me rappellent à l’ordre. D’un point de vue financier et surtout vacances, il sera clairement impossible pour moi de faire ce que je veux si je reste au Canada.

Il y a aussi le côté personnel des choses. Je veux dire par là que les choses qui m’arrivent et se passent dans ma vie doivent se faire loin de ceux que j’aime. Et je ne sais pas si j’ai envie de construire ma vie et ma famille loin d’eux.

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En gros j’ai adoré mon expérience de vie ici mais le mal du pays semble s’installer petit à petit.

Alors le doute est là. Beaucoup de questions trottent dans ma tête.

Rester au Canada ?
Tenter une nouvelle expérience professionnelle ici ?
Donner une nouvelle chance à l’expatriation ?

Rentrer retrouver mes repères, ma famille, mes amis ?
Prendre le risque que mon retour ne passe pas comme je l’imagine ?
Risquer de déchanter et vouloir revenir ?
Et si je ne trouve pas de travail ?

J’ai peur de rentrer en France puis de regretter et vouloir revenir (sachant que je peux revenir). J’ai peur de rester ici puis vouloir encore rentrer et avoir perdu du temps.
Mais c’est souvent la peur qui nous empeche de faire quelque chose non ?

Il y a tellement de personnes qui affirment que le Canada c’est l’eldorado que forcément je culpabilise un peu de ne pas avoir envie d’en profiter davantage.

Alors, aujourd’hui je pose ca là. Ces mots, j’avais besoin de les écrire. Il fallait que ca sorte comme on dit.
Et si ca me permet d’échanger avec des expat sur ce sujet ce serait avec plaisir !

C’est mon ressenti. Ma vision des choses en ce moment.

Mais d’un coté si je ne tente pas je ne pourrais pas savoir…

Je sais ce que vous allez me dire, et vous avez raison, moi seule peut prendre la décision.

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Affaire à suivre…

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Cher Père Noël…

16 Déc

Cher Père Noël, Sauf erreur de ma part, il est où mon amoureux? -#JaimeLaGrenadine:

Cher Père Noël,

Cette année j’ai essayé d’être sage…
J’ai pris ma vie en main. J’ai pris soin de moi de mille façons différentes. J’ai essayé d’aider les autres à prendre soin d’eux aussi.
Bon, soyons honnête, on ne ment pas au père noël, j’ai aussi essayé de dépenser moins d’argent mais l’appel des voyages et de la découverte de ce tout nouveau et beau pays a été plus fort que moi.
J’ai fait tout plein de sport et j’essaie de mieux manger. J’ai même suivi une formation sur la nutrition pour pouvoir prendre encore mieux soin de moi et être sure de ne pas faire n’importe quoi !

J’essaie d’avoir une bonne hygiène de vie et de m’aimer.

On dit qu’il faut d’abord s’aimer soi-même avant d’aimer les autres, pas vrai ?

Mais voilà, Père Noel, maintenant que j’ai appris à m’aimer, est-ce qu’on peut passer à l’étape suivante ? Celle d’aimer les autres. Surtout un autre.

Alors, en considération de tous mes efforts, cher Père-Noël, j’aimerais bien cette année que tu places au pied de mon sapin un très bon amoureux.

Si je te demande un amoureux, c’est parce que j’en ai besoin. Les derniers n’étaient pas de très bonne qualité et j’ai été obligée de les jeter. Là, j’aimerais bien que tu m’en apportes un, et surtout un qui n’aimera que moi, et me chérira, et m’adorera, et m’aidera à repeindre mon couloir et saura planter des clous tout en maîtrisant les grandes questions intellectuelles ainsi que la langue française. Un homme avec un peu d’humour aussi sinon je vais m’ennuyer !

Si en plus il n’était pas trop moche et sans problème de fabrication, ça serait super !

J’aimerais bien en plus qu’il soit propre, qu’il ne ronfle pas et ne picole pas trop (un peu quand même mais avec modération – et ne me demande pas « avec qui?» stp, tout le monde la connait cette blague), qu’il ne prenne pas de drogue, et si en plus il aime le sport (running, natation, vélo, whatever je suis pas difficile), tu me ferais rudement plaisir.

Je veux me réveiller le matin et voir un sourire se dessiner sur mes lèvres juste en l’apercevant. Je veux me glisser doucement hors du lit pour pouvoir le laisser dormir encore un peu et revenir plus tard le réveiller avec des bisous. Et se mettre à parler de tout, de rien, de notre programme de la journée. Puis finir par faire l’amour avant de commencer notre journée, même s’il est 13h.

J’ai envie qu’on aille se promener en plein milieu de la journée ou que chacun puisse vaquer à ses occupations. Se retrouver le soir et s’être manqué.

Je veux pouvoir manger des sushis (oui il doit aimer ça !) en regardant un bon film et finir de le regarder blottie dans ses bras.

J’ai envie d’être entourée de plein de monde et de sentir son regard bienveillant sur moi.

Je veux un homme qui me prenne le visage, m’embrasse avec passion. Et voir dans ses yeux tout ce que je représente pour lui.

J’ai envie qu’il me trouve belle et me le dise. Je veux un homme qui soit fier de dire que nous sommes ensemble, fier que je sois la femme qui l’aime et qu’il aime. Un qui sait que l’amour c’est une petite chose fragile à ne jamais considérer comme acquise. Un homme qui fera tout pour me garder près de lui.

J’ai envie d’être surprise. Qu’il m’emmène en week-end.

Je veux un homme qui me tienne la main dans la rue. Et qui me fasse un bisou sans que je m’y attende.

Un homme avec qui je partagerais plein de petites attentions au quotidien juste pour me rappeler qu’il est heureux que je sois à ses côtés.

Bref, je veux juste un homme qui soit prêt à m’aimer autant que moi je peux l’aimer et le montrer.

Voilà. La seule chose que je peux te promettre, c’est de continuer à essayer d’être sage, de boire avec modération (oui, toujours le même), et de ne pas me jeter dans les bras du premier connard qui me dira que je suis belle (ça tu peux en être sûr!).

Je m’y prends peut-être un peu tard mais je suis gentille, je te laisse le temps qu’il faudra, je te fais confiance.

Je te remercie d’avance !

Audrey

PS : malgré les travaux du voisin du dessus qui durent depuis un an et qui font beaucoup de bruit, je laisserai les deux portes-fenêtres déverrouillées. C’est du double-vitrage et ça ne serait pas très cool si tu devais les casser pour entrer… Je ne peux pas les laisser entrebâillées sous peine de finir congelée dans la nuit. Puis Haribo risquerait de se sauver…

A partager... Tchoubi ::: Petites histoires créatives: Citations de Noël / Affiches:
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Inscription semi-marathon NYC 2017

9 Déc

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La nouvelle vient de tomber et me comble de bonheur.

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J’ai été tirée au sort pour courir le semi-marathon de New-York City ! Oui oui, rien que ça !
Et j’ai vraiment beaucoup de chance car j’en connais qui n’en ont pas eu autant…

Courir dans cette ville est assez mythique pour de nombreux coureurs, moi compris. Courir dans cette ville est un rêve qui va pouvoir se réaliser. Ce n’est pas le marathon certes mais à mon niveau, juste courir dans les rues de Manhattan aux cotés de 20 000 coureurs, avec les rues rien que pour nous, ça s’annonce magique !

Il s’agit de 21.1 km pour la bonne cause, puisque les recettes sont reversées à des associations caritatives.
Le parcours est dit « roulant mais avec de petites difficultés dans Central Park dès le départ ». C’est l’occasion de relire l’expérience sur cette course de Niko l’an passé.
Je me souviens l’avoir suivi sur toute sa course sur l’application de mon téléphone d’ailleurs.

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Le départ a lieu à Central Park à 7h30 du matin et se termine dans Financial district en passant par Times Square et en longeant l’Hudson River !

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Je sens que le passage sur Times Square va être grandiose !

Alors l’objectif de cette course est déjà très clair : le plaisir avant tout !
Je ne vais pas me fixer d’objectif chrono. Je veux simplement kiffer au maximum ces 21 km et faire de cette course un moment magique et inoubliable !

Cet événement annonce encore un sacré week-end partagé entre amis et promet d’être fort en rencontres !

Encore une fois, je réalise la chance de pouvoir vivre un moment pareil dans mon aventure Canadienne.

Jamais je n’aurai pu imaginer pouvoir vivre ça en commençant à courir mes 20 min dans le parc a cote de chez moi il y a 3 ans…

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Inscription semi-marathon de Toronto 2016

20 Avr

Me voilà inscrite pour le semi-marathon de Toronto qui aura lieu le 16 octobre 2016.

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L’événement qui comprend un marathon, un semi-marathon et une course 5 km est parmi les plus courus et divertissants en Amérique du Nord sur tout un week-end. Le marathon attire plus de 26 000 athlètes de 30 pays. Je pense qu’on peut s’attendre à du monde et de l’ambiance !


En même temps, avec plus de 5 millions d’habitants, Toronto est la 5eme plus grande ville en Amérique du Nord.

Ce sera mon deuxième semi-marathon.
Pour rappel, le premier a été couru en avril 2015 à une allure tranquille après une petite entorse de la cheville.
J’en garde tellement un bon souvenir (mon meilleur souvenir de course, n’ayons pas peur des mots) que j’ai vraiment hâte de retenter l’expérience. Et je dois avouer que courir à Toronto me vend pas mal de rêve

Si l’on en croit la vidéo de l’édition passée et le fait que cette course sera partagée encore avec mes amis et mon coach, ça promet une course mémorable…

L’objectif sera de faire donc mieux que 2h26 et m’amuser au maximum !

L’entrainement ne sera pas des plus faciles puisqu’une partie se fera en plein été québécois… Et vous commencez à me connaitre, la chaleur, mes baskets et moi ça fait au moins 8000…

Mais j’ai déjà hâte de préparer cette course et d’allonger les distances.

La motivation est la et c’est déjà une partie du travail. Gardons-la !

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Le tour de l’Horloge

8 Mar

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Après 6 mois sans dossard, j’ai les épingles qui me démangent sévère….

Ce week-end, coach me parle d’un 5 km le long du Saint-Laurent, sur le vieux port de Montréal.

La course a lieu sur les docks. J’ai directement les images en tête et ça donne fortement envie. Le lendemain je reçois un petit mail dans ma boite. Coach m’invite à rejoindre son équipe de running addict. Comment résister. Inscription faite dans la foulée.

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Je ne sais pas encore comment je vais courir ces 5 km puisque j’ai déjà un 5 km avec RP (29’ 29) à battre 2 semaines plus tard. Mais j’ai déjà hâte !

Et je réalise qu’il s’agira de mon premier dossard de l’année.

Rdv donc dans 4 semaines.

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[TAG] Happy et en forme

9 Fév

Un article particulier aujourd’hui. J’ai été taguée par onlagworld sur le thème de la forme. Je n’ai pas l’habitude de faire ce genre d’article sur le blog mais j’avoue que j’aime bien l’idée d’en apprendre davantage sur les bloggeurs qu’on aime suivre régulièrement.

SPORT

Quelle(s) est (sont) ton (tes) activité(s) sportive(s) favorite(s)?

Mes activités sportives préférées sont la course à pied bien entendu et la natation.

Et depuis un mois,  j’adore le patin à glace aussi.

Depuis mon entorse en septembre j’ai abandonné le renforcement musculaire. Et j’avoue qu’avec l’agitation des derniers mois je n’ai trouvé le temps de m’y remettre. Je préfère me consacrer principalement à la course.

Combien de temps durent tes séances? Combien de fois fais-tu du sport par semaine?

Dans l’idéal, 3 séances de running par semaine et une à la piscine.

Pour la piscine en général j’enchaîne les longueurs pendant 30 min sans m’arrêter. J’augmenterai au fur et à mesure.

Pour le running, c’est entre 30 min et 1h30.

Comment se déroule ta semaine sportive? (lundi,danse / mardi, renfo muscu…..)

En France, j’avais un emploi du temps assez précis avec running le lundi, mercredi et dimanche.

J’ajoutais à ça une séance de piscine une ou deux fois dans la semaine.

Et je consacrais le mardi, jeudi et samedi au renforcement musculaire quand je faisais le TBC.

Ici, pour l’instant, je dois jongler avec mon installation et la vie sociale. Les sorties, les activités à faire ne manquent pas ! Et comme je suis venue ici pour vivre une aventure inoubliable, j’en profite !

Alors j’avoue avoir encore du mal à organiser mes semaines… Affaire à suivre!

Où fais-tu ton sport? (salle, maison, dehors, sur un pont…)

Sur un pont (d’avignonte ah ah private joke…) ? Euh non je me contente des piscines municipales pour la natation, des rues et parcs Montréalais et du stade Olympique de la ville pour les entrainements en club (oui je sais, rien que ça !)

Objectif(s) sportif(s) du moment?

Améliorer mon chrono sur 10 km et passer enfin sous la barre de l’heure. Je l’espère (et mon coach aussi…)!

Un accessoire fétiche/préféré pour le sport?

Difficile de choisir… Je dirais ma montre de running Garmin. Une fois qu’on y goute, on a du mal à s’en passer…  Suivre les données en temps réel et ensuite avoir un historique déjà tout fait sur internet c’est addictif !

Ta tenue de sport préférée?

Tenue de running bien sûr. Ma préférée c’est celle d’été avec un short et un débardeur et roule ma poule.

ASSIETTE

Je n’ai pas trop l’habitude de parler de ça ici mais de la nouveauté ça fait du bien un peu de temps en temps.

Suis-tu un régime alimentaire particulier?

Ma balance vous répondrait que non à son grand désespoir (enfin plutôt du mien…)

Je cuisine au maximum. Comme ça, je sais à peu près ce que je mange réellement. Moins de produits additifs, moins de sucres cachés etc.

J’avoue que depuis que je suis à Montréal, les sorties, resto ou autres petits déjeuners au boulot par exemple, se multiplient.

Et j’ai du mal à résister à un cookie double chocolat ou un muffin…

Je suis une grosse gourmande, j’y peux rien…

Fruits préférés? Détestés?

J’adore les fruits mais mon préféré de tous c’est la banane ! Dans n’importe quoi : gâteaux, yaourt, ou même le jus de banane. J’en mange quasi tous les jours.

Sinon je me régale avec l’ananas, la fraise, la pêche, la framboise, la myrtille et l’avocat.

Au niveau des fruits que je n’aime pas je dirais le raisin (et encore moins en fruit sec!).
Et je consomme les agrumes avec parcimonie.

Légumes préférés? Détestés?

Je raffole des salades. Toutes, sans exception ! J’en mangerai tous les jours. Sinon, je me régale avec les épinards, la courgette, la carotte, le chou, le melon et le poireau pour ne citer que ceux-là.

Par contre, vous ne me ferez jamais manger de céleri. J’en ai horreur et j’en détecte la moindre présence.
Je ne digère pas les radis donc je n’en consomme jamais.

Recettes « Healthy » préférés?

Facile : la salade.  J’adore les salades composées que je consomme avec un peu d’huile d’olive et du vinaigre balsamique.

« Cheat meal »? Ton péché mignon?

Malheureusement j’aime tout ce qui est gras et mauvais… Souvent j’ai envie d’un bon burger ou d’une bonne pizza…Heureusement je raffole des sashimis au saumon, sushis et maki. C’est un peu plus sain dirons-nous…
Mais il faudrait beaucoup de lignes pour vous parler de tous mes pechés mignons !

Snack avant sport ? Après sport?

Avant une séance de fractionnés je mange une barre énergétique ou une banane.
Après sport, en général, je mange mon repas dans les 2 heures qui suivent donc pas de snack.

MOTIVATION / INSPIRATION :

Si il y a eu un, quel a été ton déclic?

Comme beaucoup de personne, je me suis mise a courir pour perdre du poids. Après avoir perdu 7 kg, j’ai essayé a la course pour m’affiner. J’ai réussi a m’y tenir et c’est devenu un plaisir, un besoin, un challenge.

Sur la toile, quel coach ou icône du sport conseillerais-tu aux autres de suivre?

Mon mien ca compte ? Ah ah la fayote !

J’adore suivre les exploits de Sylvaine Cussot. Une sacrée femme !

J’aime bien Juliana de fitness bien être pour le renforcement musculaire. Elle dégage de la motivation à revendre et a su s’épanouir au fil de ses vidéos.
Un bel exemple a suivre.

Pour le running, quelques échanges avec mes twittos préférés qui me bottent les fesses si besoin, un post vu sur instagram qui va bien, et hop je suis boostée !

Ta citation motivation ?

Quand on veut on peut.

Bien sur, certains objectifs demandent plus de temps et d’efforts que d’autres. Mais on n’a rien sans rien.

Comment réussis-tu à te motiver quand ce n’est pas ton jour de motivation?

Instagram booste vraiment bien. Quand tu vois tout le monde se bouger et être content de sa séance, ça te donne envie de faire de même.

Un conseil pour celles et ceux qui veulent se mettre au sport?

Garder son objectif en tête si ça devient difficile parfois. Garder en tête qu’on n’a rien sans rien. Si la motivation n’est pas la, ne pas se poser de question : enfiler sa tenue, ses baskets et y aller.
Se dire que courir même 15 min est toujours mieux que ne pas y aller du tout et rester sur son canapé.

Je finirais cet article en invitant les copinettes sportives suivantes a faire de même et nous en dire un peu plus sur elles :

Athena du blog Mlle caramel cake

Justine du blog run-essence

Amelie du blog amelieB

Pauline du  blog a fleur de pow

Marie du blog completement fraisy

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La course a pied dans une vie

28 Jan

La course à pied a changé ma vie.
Ok, ça fait un peu cliché dit comme ça…
Mais j’ai réalisé certaines choses dernièrement.

Il s’agit d’un article assez personnel sur ce que je ressens en ce moment. J’ai hésité a le publier.
Je suis passée par beaucoup d’émotions différentes ces derniers mois. Et je ressens comme un besoin d’écrire sur ce que j’ai sur le coeur.

Sportivement parlant, bien sûr elle me permet de me dépenser et me dépasser. Quand j’ai passé une mauvaise journée, elle me permet de me défouler. Quand j’ai besoin de changer d’air, elle me fait me sentir vivante.

Mais j’ai réalisé que ce que je vis depuis quelques mois, je le dois en partie au running. Je pense que, tout simplement, ce changement de vie n’aurait pas eu lieu si je ne courrais pas.

Pourquoi ?
Parce que la course à pied m’a donné confiance en moi.

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J’ai tout quitté pour vivre ma vie telle que je l’entendais. Pour aller où je veux aller. Pour faire ce que je veux. Quand je le veux. Pour vivre comme je le veux.

Beaucoup me disent « tu as de la chance, vivre au canada c’est mon rêve! » ou bien encore « tu as eu une chance de fou de pouvoir partir ! ». Comme si ça m’était tombé dessus sans rien demander… Moi aussi c’était mon rêve de vivre au Canada. Alors je me suis donné les moyens pour qu’il devienne réalité. Oui j’ai eu de la chance de trouver rapidement un VIE (petit rappel : Volontariat International en Entreprise). Mais j’ai sollicité plusieurs entreprises et j’en ai trouvé une qui m’a ouvert un poste. Oui, j’ai eu de la chance de frapper à la bonne porte.

Qui ne tente rien n’a rien.

J’ai joué et j’ai gagné. Quitte à perdre et ne rien regretter car j’aurai essayé.

Ce changement de vie, je l’ai voulu. Il a demandé des sacrifices. Oui j’ai dû arracher plusieurs pansements. Les pansements ne sont plus là, mais les cicatrices restent toujours visibles.

Ce changement de vie, je l’ai choisi.
Et le courage je l’ai trouvé grâce au running.

Grâce à la course, j’ai appris à sortir de ma zone de confort. Je sais qu’il faut parfois vivre des moments désagréables pour pouvoir atteindre un jour l’objectif que l’on s’est fixé.

Alors certes, la peine causée par une rupture par exemple n’est pas comparable à une séance de fractionnés. Mais je sais garder en tête mon objectif lorsque la situation devient difficile ou peu supportable. Et grâce à ça, on trouve la force de surpasser l’inconfort de la situation.

La récompense est tellement belle… La fille qui sourit bêtement dans le métro ? C’est moi !

Je savoure chaque jour ma chance. La chance d’aimer ma vie. D’être heureuse. D’avoir l’impression que tout est possible, tout peut arriver.

Quand on veut on peut. J’aime beaucoup cette phrase. J’ai réussi à me mettre à courir alors que je ne tenais pas 10 min sans cracher mes poumons. J’ai même fini par courir un semi-marathon au bout de 2 ans et en savourer chaque kilomètre… Si on m’avait dit ça il y a 3 ans, j’aurai bien rigolé…

Voilà ce que j’aurai pu répondre à la médecine du travail à la question que l’on m’a posé : “Vous courrez après quoi?” Je cours après mon bonheur tout simplement (niou niou niou)

Oui ce n’est pas toujours facile.
Oui, il y  a des moments ou la nostalgie m’envahie lorsque les souvenirs refont surface. Mais la vie est faite de bonheur et de moments moins joyeux.
Oui je n’ai pas pu retenir mes larmes pendant de très longues minutes, seule dans ma voiture en quittant Toulouse, mes amis, mon meilleur ami, mes débuts dans la vie active, mes débuts dans la course à pied, mes habitudes, mes repères, mes endroits préférés et surtout ma deuxième famille.

Mais chaque jour représente une nouvelle opportunité. J’ai l’impression que tout peut m’arriver. Je ne sais pas vraiment à quoi m’attendre. Cette nouvelle vie, c’est l’inconnu. C’est excitant !

Je crois que j’ai réalisé que la vie était trop courte pour la subir ou regretter de ne pas avoir fait ce que je voulais. Je ne veux pas arriver à la fin de ma vie et me dire que j’aurai aimé vivre ma vie autrement. Je veux me dire que j’ai tout fait pour être heureuse.
En 2015, j’ai décidé de vivre sans regrets. Je savais que si je restais dans mon confort sans être totalement épanouie, je le regretterais un jour. Alors j’ai décidé de partir à la recherche de ce que je voulais vraiment vivre dans ma vie. Je savais que si je ne tentais pas ma chance pour partir vivre au Canada, je le regretterais. Alors j’ai essayé. Ça a marché. Et je me lève chaque jour depuis avec le sourire et la sensation d’être là où je dois être.

Je vis sans regret. Ça me pousse à être égoïste parfois. Mais la seule personne que je dois supporter à vie, à longueur de journée, c’est moi. Alors autant être en accord avec moi-même.
Si j’hésite à faire quelque chose, je me pose la question « est-ce que risque de le regretter si je ne le fais pas? » Si je réponds positivement, alors je sais ce qu’il me reste à faire.
Je reste humaine bien sûr, alors, parfois je fais des erreurs. Des belles mêmes. Mais j’essaie toujours de les assumer. Je sais que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Oui, ça encore c’est cliché mais vrai. Je sais que ce je suis aujourd’hui, je le dois en partie à ces erreurs. Certaines m’ont appris beaucoup de choses sur moi. Sur ce que je veux et ce que je ne veux pas. C’est pour cela que je ne les regrette pas.
Comme le mixe très bien Avicii (oui je sais j’ai toujours d’aussi bonnes références musicales) :

 Live a life you will remember

Saisissez les opportunités. N’ayez pas peur de vivre pour vous. Écoutez-vous. Agissez pour votre bonheur. On n’a qu’une vie. On n’a qu’un corps. On est condamné à rester ici un bon moment. Alors profitons-en ! On a la chance de pouvoir vivre des instants merveilleux. Ce serait bête de ne pas en profiter.

Prendre un risque, c’est se sentir vivant d’une certaine façon.
Je ne vous dis pas de vous lancer dans un saut en parachute (même si je pense qu’on ressent la chance qu’on a d’être vivant à ce moment précis plus qu’à n’importe lequel), mais d’oser faire les choses qui vont vous rendre heureux. On peut avoir de belles surprises au bout du compte…

C’est tellement génial d’aimer sa vie. Croyez-moi, vous devriez essayer…

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Et pis si t’es pas convaincu, va lire ça, ça ou encore ça et ça.

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Boudu, je pars en expédition

18 Nov

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Un article un peu plus personnel aujourd’hui pour vous expliquer pourquoi j’ai quitté mon club et comment vont se dérouler les prochains mois.

Je l’ai déjà évoqué par ici, cette fin d’année a été faite de pas mal de chamboulements dans ma vie. Et cela risque de continuer encore puisque en janvier je pars vivre et travailler à Montréal (oui oui au Canada pas à Montréal dans l’Aude) pour 2 ans dans le cadre d’un V.I.E.
Alors oui, comme dirait ma sœur d’amour, 2 ans c’est long et Montréal c’est loin, mais c’est un rêve qui se réalise. Demandez à ma maman (ou essayer de me croire sur parole au moins), quand j’étais petite je disais que je voulais vivre dans un chalet au bord d’un lac en pleine forêt au Canada (en vrai, j’avais trop regardé Body Guard je crois).

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Je quitte donc tout ce que j’ai (ce qui veut dire presque rien)  en France et je commence une nouvelle vie là-bas.

Et quitte à changer de pays et de vie, autant le faire radicalement en débarquant du sud de la France en plein hiver #memepaspeur

Oui je vais devoir m’habituer aux centimètres de neige, aux sourcils glacés, à la poutine, au sirop d’érable, au jus de canneberge, au collant sous le jean, au décalage horaire, aux écureuils, à entendre « bienvenue » après avoir dit « merci », à donner systématiquement un pourboire, aux pubs toutes les 6 min à la télé, à devoir m’arrêter à un panneau « ARRET », à acheter un chandail et j’en passe (comment ça je colle des étiquettes ?!)

Mais je vais surtout pouvoir visiter ce si beau pays, faire un tour par les USA, profiter de la beauté du Canada en hiver et des paysages à couper le souffle en automne. Je vais pouvoir faire du patin à glace sur le lac aux castors, admirer les chutes du Niagara, faire une excursion en chiens de traîneaux, supporter les Canadiens… et travailler accessoirement aussi.

Je crois être arrivée à tournant de ma vie où j’ai envie de vivre mon rêve et non plus rêver ma vie (niou niou niou, vous pouvez sortir les violons). Oui je sais c’est gnangnan mais tellement vrai… Une vie, on a qu’une alors il faut la vivre pleinement. Et profiter de tout ce qu’elle a à nous offrir. Et c’est encore plus vrai après ce qu’il s’est passé ce triste jour du vendredi 13 novembre.

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Je m’en vais rejoindre mes camarades de running Nicolas et Aurore qui vont m’être d’une aide très précieuse pour allier météo et course à pied je pense !

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Ma bonne action

19 Mai

Aujourd’hui on ne parle pas de course à pied mais plutôt de ce qui l’interdit pendant 24h… Aujourd’hui est le jour idéal pour vous en parler puisque j’ai donné mon sang ce matin…

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À l’occasion de la Journée mondiale des donneurs de sang qui se déroule le 14 juin prochain, l’Etablissement français du sang souhaite sensibiliser le grand public au don de sang.
Pour cela, l’EFS vous permet de visualiser ses chiffres en temps réel (en cliquant sur l’image ci-dessous):

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114 malades soignés chaque heure soit près d’1 million de malades soignés par an

Je ne suis pas fan du tout des piqûres (et en y pensant, c’est débile ce que je viens d’écrire, personne n’aime les piqûres, sauf peut-être des infirmières sadiques) mais je trouve que c’est tellement simple de pouvoir le faire que ce serait trop bête de ne pas aider les blessés, malades et accidentés.
Je me dis toujours que s’il devait arriver quelque chose à un de mes proches, je serais bien contente de le voir pouvoir bénéficier du sang dont il a besoin.

Pendant plusieurs années je n’ai pas pu donner à cause de mon taux de globules rouges trop faible. Et aujourd’hui est mon premier don depuis 3 ans (taux à la limite mais acceptable quand même yessss). Et aujourd’hui, j’ai été sensibilisée au don de plasma.
Etant du groupe sanguin AB+, je suis donneuse universelle de plasma. Et là, le taux de globules rouges importe peu. Le plasma est la partie liquide du sang. Alors c’est décidé, cette année je prends rendez-vous pour mon premier don de plasma et ainsi peut-être sauver dans le futur mes parents, ma sœur, chéri-chéri, mes amis, ta tante, ton cousin… bref bref bref des gens qui parfois n’ont rien demandé et tiennent à leur vie.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur leur site: http://www.dondusang.net/